Après la taxation du PEL, le gouvernement songe à taxer l'air des Français


Après la taxation du PEL, le gouvernement songe à taxer l'air des Français.



C'est une idée inédite au monde qui pourrait rapporter prés de 3 milliards d'euros dés la première année au gouvernement soit de quoi combler une partie du déficit de la sécurité sociale. Dans un entretien accordé au journal économique Les Echos, le ministre de l'économie, Bruno Le Maire, a annoncé que l'air serait taxé dès le 1er janvier 2018.


Reportage 

Après avoir annoncé la future taxation à 30% des intérêts pour les PEL ouvrets à partir du 1er janvier 2018, le gouvernement a décidé d'aller encore plus loin en matière d'imposition, c'est ainsi qu'une idée insolite au monde en terme de fiscalité est née en France. 

La loi de finance 2018 devrait ainsi prévoir de taxer l'air respiré par les Français. 

Dans son interview accordé au journal Les Echos, Bruno Le Maire a notamment déclaré que "l'air français en tant qu'énergie naturelle appartient à l'état, or depuis la nuit des temps, des millions de personnes consomment ce bien abusivement et sans aucune fiscalité, c'est une situation anormale !"

Le projet de loi prévoit d'imposer chaque Français au niveau de son foyer fiscal, la taxe appelé "Redevance sur l'air" devrait être acquittée en même temps que celle sur la redevance audiovisuelle. 

Le ministre a ainsi affirmé "On taxe bien les Français sur ce qui leur appartient mais dont ils n'ont pas besoin, pourquoi ne pas les taxer sur ce qui ne leur appartient pas mais dont ils ont nécessairement besoin ? En plus, vu la qualité des programmes TV, ce serait à se demander pourquoi les Français acceptent de payer quand il est question de s'abrutir mais pas quand il est question de vivre ?

La taxe serait directement prélevée par les municipalités ce qui permettrait ainsi de compenser en partie le manque de recette engendré par la suppression partielle de la taxe d'habitation. 

Le calcul de la taxe tenant compte de plusieurs paramètres, celui-ci devrait différer selon les villes. Entre notamment en compte pour ledit calcul : le revenu fiscal de référence, le nombre de parts dans le foyer fiscal, mais aussi la qualité de l'air respiré. A ce titre, la ville de Paris pourrait d'ores et déjà prévoir une exonération totale pour ses habitants. 

La maire de Paris, Anne Hidalgo, a ainsi tweeté "On ne va pas payer pour se faire empoisonner quand même" récoltant suite à cela un recours pour concurrence déloyale et imitation de procédé de la part de la plupart des industries pharmaceutiques et des fast-food.

La taxe sera plafonné à 200 euros par foyer fiscal, les inspecteurs des finances publiques seront autorisés à couper l'air des fraudeurs et des retardataires jusqu'à acquittement complet de la taxe. 

Les personnes sous assistance respiratoire seront exonérées d'impôt. Les touristes et autres personnes devant se rendre temporairement sur le sol français devront s'acquitter de taxes douanières au moment de leur retour. Le montant sera déterminé en fonction de la durée de leur séjour. En cas de non paiement, l'air consommé pourra leur être retiré. 

Les prisonniers et les sans abris seront également assujettis, à ce titre Bercy a annoncé avoir découvert 30 kg d'air non déclaré dans la future cellule VIP de Cahuzac qui a immédiatement nié les faits. 

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